Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
C.D.S.I. : Centre de Documentation d'Information et d'Animation pour le Développement et la Solidarité Internationale
13 septembre 2012

Un autre regard sur le pays dogon au Mali

Dvd-5d124

"Bonjour les enfants, une école pour Ewery" "Les rituels de la survie" "Yaapo, un puits pour Koumbé et  Guénébana"

Trois documentaires Sur les problèmes de l’eau, du développement et l’aide humanitaire au Mali réalisé par José Ainouz.

 

Bonjour les enfants, une école pour Ewery...

Un champ écrasé de soleil quelque part dans le pays dogon, au Mali ; un homme porte une houe ; deux enfants l’accompagnent. Quel avenir pour ces enfants, sinon le rude travail de la terre ? 

Franconville, banlieue parisienne ; les élèves du lycée Jean Monnet ont décidé de mener une action de solidarité internationale à travers une association qu’ils ont fondée, Solid’Eau Mali. Une école toute récente, une classe unique, des élèves appliqués et rieurs, une institutrice respectée. C’est la construction de cette école et les espoirs qu’elle fonde chez les villageois d’Ewery que retrace ce film. En suivant la vie de cette classe, il ouvre une réflexion sur l’importance de l’instruction, promesse de développement et d’avenir.
Mali 2006

 

Les rituels de la survie

Sécheresse, invasion des criquets, destruction des récoltes... Quelles stratégies les villageois de Guénébana vont-ils mettre en œuvre pour survivre à la famine qui menace ?
C’est à la vie dans ce village dogon que s’intéresse José Ainouz dans Les rituels de la survie. Puiser l’eau, tisser, piler les rares épis de mil : les actes du quotidien rythment le temps et assurent une survie précaire. Mais au-delà, toute action porte une valeur rituelle et symbolique : ainsi le tissage, omniprésent, est aussi une représentation de la parole : tisser, c’est construire la parole, l’articuler, créer le sens. Derrière les actes de survie se profile une société marquée par une profonde recherche du sens de la vie. Encore faut-il survivre...
Mali, 2004

 

Yapoo : un puits pour Koumbé et Guénébana

Deux villages maliens perdus en pays dogon écrasé par la sécheresse. Guénébana, perché sur la falaise, vit encore du tissage. Koumbé est devenu un village fantôme, déserté par ses habitants qui se sont réfugiés sous des huttes regroupées dans la plaine. Pour que ces hommes vivent, il faut exploiter les ressources en eau, il faut creuser un puits.

Yaapo, c’est l’histoire de ce puits, creusé centimètre par centimètre. C’est l’histoire de Moussa le puisatier et de ses ouvriers, descendus au bout d’une corde à cinquante mètres de profondeur, remontés évanouis parfois à cause du manque d’oxygène. C’est aussi une réflexion sur la question de l’eau en Afrique subsaharienne, la vie de populations éloignées de la capitale, la situation de certains pays après trente ans de « développement ».

Source

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Newsletter
Publicité
Pages
Visiteurs
Depuis la création 16 633
Publicité